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    • William Fouillette : “Be Equipped !”

      Publié à 18:00 par Ecrivain Public Tahiti, le février 25, 2019

      Aujourd’hui, votre écrivain public préféré vous emmène à la rencontre de William Fouillette. Ce jeune entrepreneur sportif a choisi de nous recevoir dans le show-room de “Be Equipped”, son entreprise, située en face du Lycée La Mennais, à Papeete. Il nous raconte son parcours personnel et professionnel.

      Tout quitter pour vivre son rêve

      De son premier séjour en Polynésie, alors qu’il n’était encore qu’un adolescent, William a gardé en tête l’espoir et la volonté de revenir s’y installer. Ce projet, ses parents l’avaient eu avant lui mais n’ont pas pu le concrétiser. Pour lui, c’était un rêve.

      Il y a onze ans, il est alors coach en nutrition en France et développe son affaire, au sein d’une société de marketing de réseau axée sur la santé par la nutrition et le sport. A ce moment-là, en Polynésie, cette marque en est à ses débuts et tout reste à faire. Notre ami saisit là l’occasion de réaliser son rêve. “Ce qui m’a poussé à venir à Tahiti, c’était de me dire que si je ne le faisais pas maintenant, je ne le ferais jamais et je ne voulais pas avoir de regrets plus tard.”

      Il laisse famille et amis, quitte le confort qu’il s’est déjà construit, prend ses bagages et saute dans l’avion pour l’autre bout de la Terre. “Je n’avais rien de plus que mes trois valises et un endroit où loger, chez un ami qui m’accueillait chez lui. Je n’avais aucune garantie derrière.”

      Il doit bien sûr, faire face aux difficultés du dépaysement : la perte de repères, l’isolement. “Etant fils de militaire, j’avais l’habitude de changer souvent d’endroit donc cela ne me faisait pas peur, mais là, j’étais loin de chez moi. Si j’avais un coup de “blues”, je n’avais plus la possibilité de rentrer à la maison. La seule sécurité que j’avais, c’était un billet de retour avec une validité de six mois. C’était limitée comme sécurité !”

      Une motivation certaine

      Passées les premières semaines d’adaptation, le jeune homme se construit peu à peu de nouveaux repères. Il a le sens du contact et c’est d’autant plus facile grâce à la gentillesse légendaire de la population locale. “Il y a une qualité de vie, ici, qu’on ne retrouve pas ailleurs. On est dans un endroit “safe” et magnifique, c’est important quand on voit ce qui se passe dans le monde. Ce qui m’a permis de surpasser les difficultés, c’était ma motivation et mon sens du contact. Je ne me voyais pas retourner en France.”

      Petit à petit, notre ami s’installe et développe son réseau local et son activité de coach en nutrition et santé. Nécessairement, il investit une part de ses revenus dans l’achat de matériel de sport : “Quand on dit nutrition, en fait, ce n’est pas seulement ce qu’on mange, mais aussi ce qu’on boit et l’activité physique. Ce sont ces trois choses-là. Au fur et à mesure des années, j’ai développé l’activité physique et du coup, il y eu un besoin d’équipements. Au début, je me contentais de matériels d’occasion. Ensuite, je me suis spécialisé dans le Crossfit et j’ai donc revendu tout ce que j’avais pour pouvoir m’équiper avec du matériel spécifique. C’est comme ça que je suis arrivé aux équipements sportifs.”

      Une nouvelle entreprise

      En 2018, William lance ainsi son entreprise “Be Equipped” : “Après avoir fait le tour des fournisseurs locaux, j’ai cherché une autre alternative, notamment en Chine, pour obtenir un équipement à des prix plus abordables. Quand j’ai vu que la qualité était bonne et que d’autres collègues me demandaient de commander pour eux aussi, je me suis dit que je pouvais lancer ça.”

      Montée depuis un an, cette entreprise permet aux professionnels comme aux particuliers de se fournir en équipements sportifs couvrant une large gamme. “Au début, je m’étais spécialisé sur le matériel dédié au Crossfit mais depuis, mon offre s’est élargie. Je commande en fonction de la demande et je m’occupe de la livraison du matériel. Je peux également me charger de l’installation. Ce qui me différencie des autres fournisseurs, c’est que je m’adapte à la demande. Je peux avoir du matériel qui n’est disponible nulle part ailleurs et pour un bon prix. ”

      Son logo est composé d’un outil d’entraînement, le kettlebell, dans la rondeur duquel s’inscrit un symbole sacré polynésien, le “ipu” : “Pour faire simple, c’est la renaissance vers autre chose. Autrement dit, on s’équipe pour se métamorphoser.”

      Pour ce qui est des projets de développement, William nous confie : “C’est vrai que le show-room commence à être trop étroit ! Les clients peuvent venir voir le matériel mais il leur est difficile de pouvoir le tester dans les conditions actuelles. J’ai donc plusieurs idées de développement en tête mais pour le moment, rien n’est décidé. Ce qui est sûr, c’est qu’il y aura des changements dans l’année.”

      La BMA, un réseau de confiance

      William s’est inscrit à la Business Maker Academy en juin 2018 (voir l’article à ce sujet sur le site de Steeve Hamblin) et il en est très satisfait. “Je me suis inscrit pour avoir des informations supplémentaires sur la conduite d’une entreprise, mais surtout pour intégrer un réseau d’entrepreneurs. Maintenant, je m’engage à travailler principalement avec des membres de la BMA parce que je sais que ce sont des gens sérieux, dont l’objectif n’est pas que le profit.”

      D’ailleurs il tient à partager ce message avec tous ceux qui souhaitent se lancer dans le monde de l’entrepreneuriat :

      “Soyez dans l’action de manière intelligente. Il faut apprendre à se servir des clés pour avancer avec succès et sans perdre de temps. C’est ce que la BMA m’a donné.”

       

      Posté dans Entrepreneurs de la BMA | 0 Commentaire | Tagué équipement sportif, BMA, business, clés de la réussite, entreprise
    • Les huiles essentielles d’Isabelle

      Publié à 17:14 par Ecrivain Public Tahiti, le janvier 13, 2019

      Aujourd’hui, votre écrivain public préféré vous emmène à la rencontre d’Isabelle Vahirua, chimiste de profession, qui souhaite partager avec la Polynésie tout entière sa passion pour les huiles essentielles, en particulier celles issues de la flore locale.

      Nous rencontrons Isabelle dans un salon de thé-pâtisserie bien connu de Pirae. Autour d’un thé, notre jeune retraitée raconte avec plaisir son parcours.  Lire la suite →

      Posté dans Entrepreneurs de la BMA | 0 Commentaire | Tagué agriculture, appel, business, entreprise, huiles essentielles, parfum, partage, présentation
    • James et Vaitiare ne lâchent rien !

      Publié à 15:30 par Ecrivain Public Tahiti, le décembre 11, 2018

      “Ghost Rider Tuning” indique un petit panneau situé au bord de la route qui longe la mairie de Papara, vers la montagne. C’est là que nous allons rencontrer James et Vaitiare Renvoyé, dans leur atelier, encore en cours d’aménagement.

      Le bâtiment est en béton brut de décoffrage et abrite plusieurs ateliers, dont celui de notre ami qui occupe un espace de plus de 100 m². Là, James nous accueille avec son grand sourire, son épouse Vaitiare à ses côtés.

      Chef d’entreprise depuis 10 ans, James propose un service de mécanique générale, de carrosserie peinture et importe des pièces détachées en fonction de la demande. En plus, Vaitiare a ouvert sa propre entreprise de lavage de voitures afin de compléter leurs offres.

      Passionné de sport mécanique et membre d’une association de tuning, c’est ainsi qu’il en a fait son métier. Mais la mécanique, c’est de famille ! “Mon père était mécanicien, mon grand-père aussi, alors on peut dire que je suis dans le milieu de la mécanique depuis que je suis tout petit !”

      Le parcours de James en tant que chef d’entreprise est édifiant ! “J’ai débuté à l’âge de 18 ans en tant que commercial patenté. Avec ce que je gagnais, j’ai petit à petit acheté ce dont j’avais besoin pour pouvoir me lancer dans la mécanique. J’ai pris une patente et j’ai ouvert mon premier garage. Par la suite, j’ai eu des soucis de gestion et j’ai dû fermer mon garage. Ensuite, j’ai travaillé en tant que salarié pendant six mois puis j’ai décidé de me relancer dans un autre garage. Ca commençait à bien tourner mais j’ai fait l’erreur de faire confiance à un client qui avait un gros projet et ça a mal tourné. J’ai dû fermer encore une fois et me remettre sur le marché du travail. Cette épreuve a été particulièrement dure parce qu’elle m’a coûté mon garage et un interdit bancaire de deux ans. »

      Faire ce que j’aime

      « Il y a 10 ans, quand ma fille est née, ma femme m’a dit de remonter mon garage parce qu’elle en avait assez que je travaille de nuit. Elle voulait que je fasse quelque chose que j’aime. C’est comme ça que je me suis remis en patenté.”

      Depuis, les choses ont bien évolué. “Nous sommes installés dans cet atelier depuis 2017. Avant, je faisais du dépannage à domicile. Mais le souci quand on travaille à la maison, c’est que les clients ne respectent pas les horaires. Ils débarquent à des heures tardives. En plus, les voitures s’accumulaient dans le jardin, et comme nous vivions chez les beaux-parents, mon beau-père a fini par me demander de penser à ouvrir mon garage. Finalement, on s’est dit qu’il était temps de penser à s’installer dans un atelier.” Pour Vaitiare, c’est important : “Le fait d’avoir un atelier est primordial pour l’image qu’on donne de notre entreprise, ça fait plus professionnel. Cela permet aussi de mettre des limites entre le côté professionnel et la vie privée.”

      Vaitiare a été amenée à travailler avec son mari depuis 2017, après avoir obtenu son BTS d’assistante de gestion de PMI/PME en 2014. “Je ne trouvais pas de travail alors mon mari m’a proposé de travailler avec lui. Ici, je m’occupe un peu de tout : la gestion administrative de la boîte, un peu de production aussi, notamment sur la carrosserie. La mécanique, pas encore, parce que je ne sais pas faire, mais je me forme petit à petit !” nous dit-elle en riant.

      Travailler en couple n’est pas donné à tout le monde… Comment ça se passe entre vous deux ? “En fait, il faut faire la part des choses entre le travail et la maison. Il arrive que je râle quand elle fait une erreur de facturation, parce que ça me met mal à l’aise vis-à-vis de la clientèle, nous dit James. C’est normal, c’est le patron, répond Vaitiare, mais ça se passe bien. C’est une question d’entente.”

      Sa clientèle vient d’un peu partout sur l’île de Tahiti. “J’ai travaillé huit ans à domicile, ce qui fait que j’ai déjà une base de clientèle assez large et depuis mon installation, je touche un peu plus la clientèle de Papara, je commence à être connu dans la zone. J’utilise aussi Facebook pour me faire connaître et ça fonctionne bien. Pour 2019, on pense faire des annonces à la radio et relancer notre publicité dans la brochure du BIG-CE.” 

      James et Vaitiare ont un projet en tête. Ils souhaitent transformer leur garage en un Centre de l’Auto où le client trouvera tout ce dont il a besoin pour sa voiture, du lavage de voiture à la pièce détachée en passant par la voiture neuve ou d’occasion. “Nous avons déposé un dossier très récemment à la banque pour le réaménagement et l’équipement du lieu. Comme vous voyez, c’est encore assez vide. Nous voulons d’abord nous occuper de cette partie de notre entreprise, ensuite nous nous occuperons de la développer.”

      James a intégré la Business Maker Academy après la session “Money Maker” de mai 2018.  “En fait, étant donné que je suis patenté depuis plusieurs années, j’ai déjà une large expérience dans le domaine. Du coup, on va dire que ce que nous apprenons à la BMA est comme une remise à niveau. La BMA me cadre un peu.”

      Avant de nous quitter, James a tenu à partager quelques conseils avec les futurs entrepreneurs de la Business Maker Academy : “Avant toute chose, il faut savoir si on veut le faire ou pas, parce que si tu ne sais pas où tu vas, la vie d’entrepreneur est difficile. Quand je me suis lancé, je n’avais pas d’encadrement comme on a actuellement avec la BMA. Les nouveaux BMA ont de la chance parce qu’ils sont encadrés de chefs d’entreprises. Le conseil que je donne est de s’entourer de ces chefs d’entreprise et d’apprendre de leurs erreurs. J’ai fait beaucoup d’erreurs dans ma vie d’entrepreneur et ça m’a coûté très cher. Un autre conseil est de ne pas faire confiance à n’importe qui. Si vous vous lancez sur un gros projet, faites-le de manière à avoir la maîtrise de l’aspect financier. Faites signer les devis et mettre l’argent sur votre compte AVANT de lancer les commandes de matériel et tout ça. Mais surtout, et c’est mon conseil le plus important : IL NE FAUT RIEN LÂCHER ! Je me suis planté deux fois, et deux fois je me suis relevé. Alors, ne lâchez jamais rien !”

       

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      Posté dans Entrepreneurs de la BMA | 2 Commentaires | Tagué activité, business, entreprise, famille, mécanique
    • Patricia Rossi, une femme d’action !

      Publié à 09:46 par Ecrivain Public Tahiti, le décembre 7, 2018

      Tout le monde connaît la championne de surf au palmarès impressionnant et que l’on ne présente plus. Aujourd’hui, si le surf reste une passion, Patricia est avant tout une mère et un chef d’entreprise dynamique, au franc parler. Elle nous reçoit chez elle, à Arue, au bord de sa piscine, dans la maison familiale de ses parents qu’elle a transformée selon ses goûts.

      Le jardin familial a fait place à la piscine et un petit F2 à étage jouxte désormais le bâtiment principal. Ce petit logement supplémentaire, elle l’a construit quasiment seule, après que l’entrepreneur qui était censé le bâtir ait disparu avec l’argent. “On apprend des mauvaises expériences qu’on a.” Aussi, plutôt que de perdre son temps à se lamenter sur son sort, Patricia a retroussé ses manches et s’est mise au travail. “Il avait fait les murs et la toiture, tout le reste, c’est moi qui l’ai fait. J’ai appris à faire le PVC, le carrelage et le béton cellulaire… J’adore ça, le béton cellulaire, c’est facile à travailler ! Maintenant, quand je vais dans les grandes surfaces de bricolage, on me reconnaît, on me demande ce que je vais encore fabriquer ! En fait, c’est vraiment passionnant !”

      Et qu’en est-il de la vie de famille ? Patricia reconnaît que c’est difficile de concilier toutes ses responsabilités. En plus de sa maison, elle assume quasiment seule la responsabilité de ses deux enfants, un garçon de 14 ans et une petite fille de 2 ans. “Je crois que j’ai les deux âges les plus difficiles à gérer, avec un adolescent qui revendique son autonomie mais réclame encore de l’attention, et une petite fille qui a besoin de 100% du temps. Je me lève très tôt le matin pour que tout soit prêt à leur réveil. J’aime passer un peu de temps avec eux avant qu’ils aillent à l’école et à la crèche. Avec eux j’ai appris, la patience, le self-control…”

      Et la vie de couple dans tout ça ? “Le père de ma fille m’a dit un jour que je n’ai pas besoin de mec ! C’est difficile à admettre ! Les hommes ont peur de mon indépendance, ils se demandent ce qu’ils peuvent m’apporter de plus. En fait, pour moi, un homme doit être là pour me soutenir et m’épauler en m’encourageant, être fier de ce que je fais. Les hommes sont encore très rétros avec une certaine fierté et un peu machos. Le plus souvent, ils se sentent frustrés d’être avec une femme qui sait faire un “travail d’homme”. Ils se sentent inférieurs au lieu de se sentir fiers…Et le fait que j’ai été quelqu’un de médiatiquement connue n’arrange pas les choses. Du coup, aujourd’hui, j’ai même presque honte de mon statut de championne car cela donne l’impression aux hommes de ne pas être à la hauteur.”Alors, messieurs, à bon entendeur… Un homme sympa, intelligent, posé et qui voit d’un très bon oeil que madame pose le carrelage… Ca doit bien exister, non ?

      En plus d’être une femme indépendante et une mère exemplaire, Patricia est aussi un chef d’entreprise. C’est en 2007 qu’elle se lance dans l’importation d’articles divers. Toujours à l’affût des nouveautés, elle s’adapte rapidement à la demande et surfe sur les nouvelles tendances, telles que les jeux pour enfants, les vêtements de sport, les accessoires de téléphonie mobile. Plus récemment, à cause de son animal de compagnie, elle se lance dans les accessoires et produits de soins pour chiens. Elle découvre par la suite les huiles essentielles, en particulier certaines d’entres elles qui sont particulièrement utiles dans le quotidien et qu’elle propose actuellement sur son site. “Il faut savoir se renouveler” dit-elle.

      Son entreprise, “Vanaa Import”, est présente sur Facebook.

      En 2014, elle décide d’investir dans l’achat d’un appartement sur Papeete et ouvre une patente pour faire de la location saisonnière. “Je cherchais quelque chose de moins prenant et qui pouvait me permettre de gagner de l’argent”. Il lui faudra une bonne année avant que la demande ne décolle. “Il faut sortir du lot en proposant un service de qualité et en offrant des suppléments, comme aller chercher les clients à l’aéroport, leur mettre un vini à disposition. Il faut savoir se démarquer.” Maintenant, son appartement atteint un taux d’occupation de 90% voire 95%.

      En 2015, elle se lance dans la location de voitures. “Au début, ça se louait peu, mais petit à petit, les locations ont augmenté. Depuis 2017, je suis obligée de refuser de la clientèle. Du coup, j’ai décidé d’agrandir mon parc de voitures de location. Mon dossier n’attend plus que la signature du Ministre des transports. Je n’ai même pas de voiture pour moi, je roule en scooter !”

      Le business, Patricia adore ça ! “Ca m’éclate ! Mais il faut que ça tourne, quoi ! “

      Il y a fort à parier que notre amie ne s’arrêtera pas là. “Il y a énormément de potentiel sur Tahiti, mais le système mis en place depuis des dizaines d’années n’a pas vraiment aidé à faire évoluer les mentalités. Les gens attendent trop souvent qu’on les prenne par la main et qu’on les assiste alors qu’il faudrait les guider et les former pour qu’ils deviennent autonomes. Le gouvernement met des choses en place ces derniers temps, mais les démarches administratives sont parfois très compliquées, alors que logiquement, avec notre statut d’autonomie, on pourrait faire plus simple… Mais il faut surtout éduquer les gens sur les vraies valeurs, l’économie, la vente, le service, l’accueil, et le plus important, sur la gestion de leur argent. L’éducation financière est la base de tout, même dans sa vie privée… C’est ce que j’ai appris dans la BMA.”

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      Posté dans Entrepreneurs de la BMA | 1 commentaire | Tagué activité, business, entreprise, famille, présentation
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